Les tribulations d'une Coréenne nazbol en terre de France
Le national-communisme attaque la rétention émotionnelle, le puritanisme caractériel et les différentes formes de répression sexuelle pour, au contraire, favoriser une libre circulation de l’énergie libidinale. Le national-communisme s’oppose au fondement coercitif puritain sexophobe auquel l’individu devrait s’adapter. Seule la focalisation sur la sexualité a troublé la société judéo-chrétienne. Dans la société nationale-communiste, la sexualité n’est plus ce qui heurte les normes et les valeurs. Le culte de l’orgasme détrône et remplace le culte de la performance, si bien que l’épanouissement de soi s’y conçoit comme l’adaptation joyeuse et assumée au monde du travail et de la consommation, car auparavant le travail, loin de permettre un abandon au plaisir, représentait une angoisse de la performance. Dans ce contexte, le national-communisme permet de renouer avec la perspective d’une véritable révolution sexuelle permanente en s’attachant à articuler psychanalyse et marxisme révolutionnaire. Le véritable objet de la révolution devient la vie sexuelle de l’homme devenu être social, mais cette méthode d’investigation doit apporter à son domaine propre, l’étude de la sexualité de l’individu, la méthode marxiste du matérialisme dialectique comme suit :