Les tribulations d'une Coréenne nazbol en terre de France
Toute la mythologie égyptienne est basée sur l'inceste et la consanguinité : c'était un exemple pour les familles dirigeantes, afin de conserver leur sang supérieur. La longévité de l'ancien empire égyptien en dit long sur les soi-disant danger et impudicité de ces pratiques...
A l'origine était Noun, le chaos , que les Egyptiens imaginaient sous la forme d'une masse liquide inanimée, qui par reproduction directe avait engendré le dieu du soleil Râ . Râ s'unit à lui-même en se mutilant pour se satisfaire et mit au monde le premier couple divin, le dieu de l'air Shou et la déesse de l'humidité Tefnet , dont il se trouva ainsi être tout à la fois père et mère , puisqu'ils étaient nés des gouttes de sang jaillies de son phallus et de son sperme fécondant son propre sein . De l'inceste de Shou et Tefnet naquirent le dieu de la terre Geb et la déesse du ciel Nout, lesquels engendrèrent à leur tour Osiris, Isis, Seth et Nephthys ; naturellement Osiris épousa sa sœur Isis et reçut de Geb la riche vallée du Nil , tandis que Seth et Nephthys héritèrent des vastes déserts environnants.
Or il advint que Seth, jalousant Osiris, le tua par ruse et le découpa en morceaux qu'il éparpilla . Isis réussit à rassembler les portions éparses de son malheureux époux à
l'exception de la partie qui lui tenait le plus à coeur, son phallus jeté dans les eaux du Nil et avalé par une anguille ( d'où l'interdiction formelle faite aux prêtres egyptiens de consommer du
poisson ) . Dès lors, Isis ne pouvait donner sépulture à Osiris car sa dépouille était incomplète. Par chance Anubis, fils d'Osiris et de Nephtys _ eh oui, l'échangisme était un privilège divin!
_ assembla si minutieusement les parties du corps de son père que le mort semblait vif, et y adjoint un phallus artificiel qu'Isis ranima en le prenant dans sa bouche :
Dès lors la fellation devint un rite sacré, et
dans les temples d'Isis on sanctifiait chaque année un phallus fabriqué par les prêtres pour l'épouse et soeur d'Osiris, qui était porté en triomphe en tête des processions consacrées à cette
déesse qui enseignait aux femmes non seulement les travaux ménagers, mais également les caresses érotiques.